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Problème d’insomnie

Il faut d’abord s’assurer du bond diagnostic. L’insomnie est d’abord une plainte de la personne qui observe qu’elle dort mal. Cependant dormir mal ou peu, ne signifie pas toujours être insomniaque. Il existe de petits dormeurs et des gens qui raccourcissent leur nuit sans problème. Dans la mesure où il n’y a pas de plainte de la part du sujet, il n’y a pas lieu de parler d’insomnie.

Solution rapide et naturelle pour retrouver le sommeil

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Un insomniaque est quelqu’un qui ressent un véritable soulagement lorsqu’il arrive à dormir alors que d’autres ne se posent pas de questions quand ils vont au lit.

L’insomnie initiale présente des difficultés d’endormissement au coucher, l’insomnie de maintien suscite de multiples réveils au cours de la nuit tandis que l’insomnie terminale débouche sur un réveil trop matinal. L’insomnie peut être occasionnelle ; transitoire, de courte durée ou être chronique. Dans ce dernier cas elle peut s’échelonner sur quelques mois à plusieurs années.

Contrairement aux idées reçues, les somnifères ne sont pas le remède miracle. Ils peuvent causer une dépendance et aggraver la situation. En premier lieu, il faut consulter un médecin et lui demander conseil.

Des traitements plus doux existent alors pensez-y. L’acupuncture, par exemple, a pour but de faire à nouveau circuler l’énergie de façon homogène pour retrouver un sommeil réparateur. En d’autres termes : l’acupuncteur va tenter de trouver l’endroit où se cache le mal pour rééquilibrer les énergies.

La luminothérapie est aussi utilisée contre l’insomnie. Elle consiste à utiliser les vertus de la lumière du jour pour retrouver un équilibre et peut aider les personnes dont l’horloge interne est déréglée. La luminothérapie intervient alors pour recaler l’horloge biologique en rappelant à l’organisme les deux phases marquantes : le jour et la nuit. Le principe de cette thérapie par la lumière est de s’exposer face à une lampe spéciale qui reproduit la lumière du jour pour rééquilibrer les rythmes circadiens (qui nous indiquent de dormir la nuit et d’être éveillé le jour). La luminothérapie est notamment utilisée par les travailleurs nocturnes dont le rythme est fortement perturbé.

Parfois, quelques simples gestes au quotidien permettent d’aller mieux. Vous pouvez éviter des horaires trop variables, une consommation fréquente de café ou encore vaincre l’envie de passer des heures devant la télévision avant le coucher. Les tisanes à base de valériane ou l’essence de lavande à déposer sur l’oreiller avant le coucher sont aussi conseillées. La passiflore est également très bonne pour vaincre une période de stress intense, lors des périodes d’examens par exemple. Enfin , le choix d’une literie de qualité a une influence considérable sur le sommeil de chacune d’entre nous. C’est donc un facteur à ne pas négliger.

Le trouble affectif saisonnier et l’âge

Des études épidémiologiques rapportent que la prévalence du TAS augmente avec l’âge jusqu’à 60 ans. À partir de l’âge de 50-54 ans, la prévalence diminue de manière drastique, à tel point que la prévalence du TAS au-delà de 65 ans est très basse.
Néanmoins, les patients âgés de plus de 65 ans peuvent toujours se présenter dans les cliniques pour recevoir un traitement, et une expérience clinique montre que leur réaction au traitement ne diffère pas de celle des patients plus jeunes atteints du TAS.

Autres facteurs du trouble du sommeil

La période de l’année pendant laquelle se déroule l’étude affecte le processus de remémoration des épisodes de dépression saisonnière ; ainsi, les patients interrogés en automne ou en hiver sont plus susceptibles de rapporter des troubles saisonniers comparé aux patients interrogés en été (Lam & Levitt, 1999).

Une étude menée au Royaume-Uni a montré que le taux de prévalence du Tas était de 2,4% selon les critères strictes du DSM IV (Association des Psychiatres Américains, 1994). La plupart des cas identifiés n’a pas été auparavant diagnostiquée par le médecin traitant comme étant atteinte de dépression saisonnière, bien que plus de la moitié était diagnostiquée avec d’autres formes de dépressions et recevait des antidépresseurs. Par conséquent, bien que le trouble affectif saisonnier s’avère être un trouble répandu dans la population générale, il s’avère être largement sous-diagnostiqué et/ou mal diagnostiqué (Michalak et al, 2001).

Une étude américaine, qui a utilisée une méthode structurée d’entretien de diagnostic, a rapporté que les patients souffrant de TAS étaient plus instruits que ceux qui ne présentaient pas ce trouble, et que celui-ci était plus répandu dans les environnements ruraux. Cependant, une étude canadienne, qui a utilisé une méthode similaire, n’a pas conclu sur des effets de l’éducation ou de l’environnement urbain/rural.

Le sommeil a une importance capitale pour la croissance, la maturation cérébrale, le développement de nos capacités cognitives et la régulation de la température. Il est constitué de plusieurs cycles qui se succèdent durant la période de sommeil. Il y a 2 cycles dans le sommeil :

    Sommeil lent : l’activité cérébrale ralentie, la respiration se stabilise et devient régulière, nous sommes dans une phase de somnolence, mais nous continuons à entendre les bruits autour de nous.     Sommeil paradoxal : est le second cycle dans lequel nous entrons. Nous sommes alors dans un sommeil profond, duquel il est très difficile de nous sortir. Le cerveau, les muscles et l’ensemble de l’organisme sont au repos. C’est cette phase de sommeil qui est la plus réparatrice.

Ronflement et apnées du sommeil

Le sommeil est censé être un moment de calme, mais peut parfois s’avérer extrêmement bruyant. Car, de petits sons au bruit d’un avion au décollage, le repos peut malheureusement s’accompagner de nuisances sonores bien connues : les ronflements. Outre le dérangement important pour le repos des autres, ceux-ci peuvent signaler les prémices d’un trouble plus grave comme les apnées du sommeil.

Les apnées du sommeil sont plus fréquentes qu’on ne le pense ; 4 à 8 % de la population serait concernée. Et ces arrêts respiratoires nocturnes sont une véritable menace pour la santé. Ce n’est pas un problème à négliger puisque ce trouble se traduit par des courts arrêts respiratoires durant la nuit. À long terme, la mauvaise oxygénation de l’organisme entraîne des troubles cardiaques, de l’hypertension artérielle et même des risques d’infarctus.

Comment diagnostique et dépistage de l’apnée du sommeil

Comment dépister ce trouble alors que nous dormons ? Pour schématiser, si vous êtes un « ronfleur fatigué », vous avez toutes les chances de faire des apnées du sommeil sans le savoir. D’autant plus si votre conjoint constate des arrêts de votre respiration durant la nuit. Bien sûr, il faut éliminer d’autres causes possibles de la fatigue en consultant son médecin. Mais le fait de ronfler, associé à un sommeil non réparateur sont des signes qui doivent faire penser à des apnées du sommeil.

Les fatigues inexpliquées, somnolences diurnes et autres endormissements incontrôlables doivent encourager le ronfleur habituel à consulter. Le syndrome d’apnées du sommeil ne doit pas être confondu avec un banal ronflement. Celui-ci peut être lié à la position dans laquelle vous dormez, elle même parfois influencée par la qualité ou l’état de votre literie. Un matelas haut de gamme peut aider à un positionnement du corps plus à même de contrer l’apnée du sommeil.

Traitement de l’apnées du sommeil par CPAP

Le médecin recommandera un traitement par CPAP intensif pour la nuit à l’aide d’un appareil de ventilation à pression d’air positive continue, l’appareil CPAP. Un masque est installé et soutenu par une sangle sur la tête

Bien choisir son sommier

Bien choisir son sommier est aussi important que bien dormir. Il faut choisir un sommier en fonction de sa suspension, c’est cela qui détermine votre soutien et votre confort. C’est en quelque sorte l’amortisseur de votre sommeil.

On distingue aujourd’hui deux principaux types de sommiers, le sommier tapissier et le sommier à lattes.

Faut il choisir un sommier à lattes ou choisir un sommier tapissier ?

Avantages du sommier à lattes par rapport au sommier tapissier : Une meilleure aération, de par son principe l’air circule mieux
Un meilleur confort, surtout si le sommier dispose de curseur de fermeté. Quasiment aucun entretien pour un sommier à lattes, là ou un sommier tapissier doit être aspiré

Avantage du sommier tapissier par rapport au sommier à lattes : Le seul aspect ou le sommier tapissier est privilégié par rapport au sommier a lattes est son prix, généralement plus bas.

Vaincre l’insomnie troubles du sommeil

L’insomnie est un mal moderne. Un cercle vicieux dont il est parfois bien difficile de se sortir. Si vous êtes sujet à des troubles du sommeil, si vous vous tournez des heures durant dans votre lit avant d’enfin vous endormir voici quelques astuces qui pourront vous aider à enfin trouver le sommeil.

Accueillez le sommeil au lieu de le combattre. Soyez attentif aux premiers signes, bâillements, concentration hasardeuse, paupières lourdes, laissez vous gagner et ne lutter pas !

Préparez vous à vous endormir. Pourquoi ne pas mettre en place des rituels de détentes, comme un temps de lecture ou de massage. Le but est d’éviter de commencer à stresser en craignant l’insomnie. Plus vous allez vous angoisser, plus il sera difficile de s’endormir.
Évitez tous les excitants, le café naturellement, ses dérivés comme le Coca-Cola, le thé, le tabac, les alcools les vitamines !

Manger léger avant de vous coucher
Mangez léger et de préférence au moins deux heures avant l’heure du coucher. La digestion augmente la température du corps ce qui n’est pas bon pour le sommeil et l’endormissement.

Prendre un douche ou un bain avant de se coucher.
Prenez une bonne douche ou un bon bain avant de vous coucher. Outre les mesures d’hygiène évidente, le but est d’éliminer les traces de transpiration avant de se coucher. En effet, les restes de transpiration sont  irritant pour la peau et risque donc de vous inconforter durant la nuit.

Se coucher à la même heure
Soyez régulier dans vos horaires. Tous les matins, essayez de vous lever à la même heure y compris les week-ends et jours fériés. Un rythme régulier permettra à votre horloge biologique de se régulariser et d’anticiper le coucher

Aménager sa chambre pour bien dormir.
Créer vous une ambiance favorable au sommeil. Une décoration que vous appréciez, une pièce bien aérée avec une température entre 15 et 18°. Si vous habitez en ville, veillez à ce que l’obscurité soit la plus totale possible tout comme l’isolation phonique. Il faut que vous soyez comme dans un cocon.

Quelques conseils pour vaincre l’insomnie 

Couchez-vous uniquement lorsque vous avez envie de dormir. Essayer de s’endormir à tout prix ne rime à rien, et engendrera plus du stress qu’autre chose.

Evitez de rester au lit lorsque vous êtes éveillé. Si vous êtes réveillé depuis trop longtemps sortez de votre chambre, aller rester au lit lorsqu’on est éveillé depuis plus de 20 à 30 minutes. Quand cela  vous relaxer comme nous l’avons vu plus haut et revenez vous couchez au besoin si le sommeil vous gagne à nouveau.

Quel matelas pour bien dormir ?

Comment choisir son matelas  pour mieux dormir ? Pour bien dormir, il faut bien choisir son matelas. Facile à dire, mais en pratique comment procède-t-on ? Il faut tout d’abord savoir qu’il existe trois catégories de matelas  différentes ; ceux à ressorts, à mousse et en latex. Chacun y trouvera son bonheur.

Quel matelas ressorts pour bien dormir.

Les Matelas ressorts présentent trois types de technologies différents : les ressorts biconiques, les ressorts Multispire et les matelas à ressorts ensachés. Plus étroits au milieu qu’à leurs extrémités et reliés entre eux par des spires dans le sens de la largeur, les ressorts biconiques sont généralement réservés pour les produits d’entrée de gamme.

Les ressorts Multispire, quant à eux, composés d’un fil d’acier en spires continu de par en par du matelas, offrent un soutien total, un couchage ferme et tonique, une indépendance de couchage moyenne et une très bonne aération.

Pré comprimé et ensachés individuellement, le matelas ressort ensaché travaille indépendamment et assure à chaque partie du corps, une suspension optimale.  C’est la technologie la plus répandue, puisque quelle que soit la pression, cette suspension permet une indépendance de couchage, le respect de la morphologie et une ventilation très efficace.

Les Matelas mousse pour bien dormir

Les Matelas mousse peuvent être conçus par la mousse de Polyéther, de Polyuréthane et la mousse Viscoélastique.

La mousse de Polyéther est une mousse synthétique de faible densité, d’une épaisseur minimum de 10 cm et d’une densité de plus ou moins 20 kg/m3. Elle réserve un confort très ferme, c’est un produit basic d’entrée de gamme.

La mousse de Polyuréthane, est aussi une mousse synthétique mais à cellules ouvertes offrant une bonne élasticité d’une densité supérieure à 24 kg/m3. Cette mousse assure un confort ferme et dynamique, une bonne ventilation et est fortement recommandée en cas d’allergie.

La mousse Viscoélastique est une mousse de Polyuréthanne de très haute densité à absorption totale d’énergie. Ainsi, elle limite les points de pression. Elle a été développée par la NASA et surnommée matelas à mémoire de forme de densité supérieur à 55Kg/m3. Elle est un produit haut de gamme (voir ici dans cette boutique de literie pour l’achat d’un matelas à mémoire de forme)  ; elle favorise la circulation du sang et offre une excellente indépendance de couchage. Elle est très conseillée pour les personnes sujets à une sudation relativement importante.

Quel matelas latex pour bien dormir

Les Matelas Latex sont d’origine naturelle (sève d’hévéa) ou synthétique. Grâce à cette matière, ils sont résistants et quasiment indéformables d’une densité allant de 54Kg/m3 à 83Kg/m3. Ils offrent un confort progressif, souple à l’accueil et ferme en profondeur. Perforé ou alvéolé, ils sont dotés de zones de conforts différenciées allant de 3 à 7 zones.

Orientation du lit, aménager sa chambre

Parmi les conseils pour mieux dormir, il faut aussi aborder la position du lit dans la chambre. En effet, bien que cela puisse paraître anodin, lorsque vous achetez ou changez de literie (matelas ou sommier), cela peut-être l’occasion pour mieux placer votre lit : en effet cela peut influencer la qualité du sommeil. Voici quelques conseils pour placer votre au lit aux endroits clés de votre chambre.

Ce qu’il ne faut pas faire dans une chambre à coucher.

Stocker des choses sous le lit : Il est déconseillé de stocker des valises ou des boîtes encombrantes sous le lit. Cela empêche le sommier et le reste de la literie de travailler convenablement mais aussi d’un point de vue plus Feng Shui, cela empêche l’énergie de circuler.

Placer son lit face à la porte : Si votre lit est face à la porte, cela peut rapidement vous gêner pendant l’endormissement. Inconsciemment vous surveillerez la porte pendant votre sommeil qui n’en sera que moins profond. Pour parler Feng Shui, croyez-le ou non,  votre énergie cosmique sera absorbée par la porte et votre sommeil sera tout sauf réparateur.

Conseil : Comment aménager sa chambre pour bien dormir

Prenez en compte fenêtres et portes : Généralement, on dit qu’une fois dans son lit, on doit être capable de voir le plus tôt possible si quelqu’un entre dans la chambre. Il est préférable de ne pas placer la tête du lit contre le mur situé à côté de la porte, le mieux étant de se mettre perpendiculaire à celle-ci.

Évitez également de placer votre lit entre la porte et une fenêtre ou immédiatement sous une fenêtre. En fait, l’astuce et de positionner la tête du lit contre un mur, de manière à se sentir en relative sécurité pendant le sommeil. Généralement, le meilleur positionnement du lit est dans le coin de la chambre opposé à la porte.

Position du lit par rapport aux points cardinaux

Suivant votre sensibilité au magnétisme vous pouvez aussi vous pencher sur la question des pôles.

La tête au nord et les pieds au Sud, c’est la position la plus conseillée. Libre à vous d’y croire et d’essayer !

Quelle position pour bien dormir

Une bonne nuit, passe avant tout par une qualité de sommeil. Mais avant d’apprendre à choisir le matelas qui vous sied le mieux il est aussi important de s’attarder sur votre position de sommeil !

Si la literie possède effectivement une part très importante sur la qualité du sommeil, il est également primordial de savoir comment maximiser votre confort. Savoir relâcher ses muscles, minimiser les points de pression de la literie sur le corps, répartir son poids sur le matelas, « bon-sommeil.fr » vous dit tout !

Dormir sur le ventre !

C’est la pire des positions. Si vous avez régulièrement des douleurs à la nuque ou dans le dos ne cherchez plus ! Dormir sur le dos est susceptible de provoquer une hyperlordose des vertèbres lombaires particulièrement si vous dormez sur un matelas mou.  La pression du matelas ira à l’inverse de ce que la colonne vertébrale peut subir comme mouvement. Autrement dit vous allez vous retrouver cambré de façon assez peu naturelle et certainement finir par devoir aller vous faire remettre d’aplomb par un bon ostéopathe.

Si vous dormez dans cette position, il faudrait penser à en changer.

Dormir sur le dos !

Voilà qui est déjà plus confortable. La position du rêveur, de la méditation. Combien d’entre-nous se plaisent à regarder le plafond pendant que leur esprit divague ? Cette position est plus confortable, car les pressions exercées sur les disques intervertébraux sont les plus faibles. Le poids du corps est également réparti sur le matelas et il n’y a aucune torsion de vos membres. Notez tout de même que cette position à tendance à favoriser les ronflements.

Dormir sur le côté !

C’est la position adopté par la plupart des personnes. Dés l’enfance on a tendance à se mettre en position fœtale pour s’endormir. Dans cette position la colonne vertébrale reste toujours à l’horizontale et parallèle au matelas. De cet fait la pression est la même sur toute la longueur du corps. L’idéal est de se coucher sur le côté en essayant de rester relativement droit. Le petit plus de cette position est qu’elle à tendance à réduire les ronflements.

Le «trouble postural»

Le «trouble postural» est très souvent à l’origine des douleurs. Peu violentes mais lancinantes, elles sont soulagées par le changement de position, le simple fait de se lever et de se déplacer.

Pour les éviter, voilà ce qu’il faudrait faire :

Quand on dort,dans un lit mou, on s’enfonce avec délice … et on ne se lève plus le lendemain ! S’il ne se repose pas à plat, le dos travaille sans cesse. Privilégiez donc un sommier rigide et un matelas ferme. Efforcez-vous de ne pas dormir sur le ventre (ce qui creuse la cambrure des reins). N’utilisez pas de traversin ou d’oreiller trop haut : votre cou souffrirait de ne plus être dans son axe normal.

Quand vous conduisez lors de longs voyages, ne soyez pas collé au volant : vos bras doivent rester souples. Redressez votre dossier, et pour ne pas trop vous enfoncer, placez une planchette sous vos fesses.

Quand vous téléphonez, ne coincez pas votre téléphone entre votre oreille et votre épaule, mais tenez-le d’une main en appuyant le bras sur votre bureau pour ne pas vous tordre le cou.

Quand vous vous penchez,pour vous regarder dans un miroir, pour lire, pour faire la vaisselle, le ménage… Prenez appui avec le ventre sur le lavabo et faites une fente en avant (comme les escrimeurs). La jambe de derrière est tendue et celle d’appui légèrement plié. Encore une fois, l’effort est reporté sur les jambes et votre dos est protégé.